Les similitudes entre un zombie et un parisien
Les similitudes entre un zombie et un parisien

Les similitudes entre un zombie et un parisien

Les zombies sont juste de la science-fiction, pas vrai !? Faux ! J’ai dernièrement assisté à la Zombie Walk à Paris, et j’ai remarqué beaucoup de similitudes entre un zombie et un parisien (je parle de ce que je connais le mieux, Paris !). Il y a dans notre quotidien beaucoup de personnes qui s’apparente à des Zombies, et qui sait, vous êtes peut-être même déjà un zombie, et vous ne le savez même pas ? “Oh mon dieu un zombie qui me lit !!!”

Par définition, le terme zombie (ou zombi ; créole haïtien : zonbi) désigne selon Wikipédia “une personne ayant perdu toute forme de conscience et d’humanité, adoptant un comportement violent envers les êtres humains et dont le mal est terriblement contagieux”.

Jusqu’à là, je pense qu’on aura tous reconnu… (nan ! Je ne peux pas ! Je me discipline à ne jamais parler politique sur mon blog). Je reprends… Vous aurez donc tous déjà reconnu quelqu’un de votre entourage, ou que vous ayez connu, n’est ce pas ?

“Le terme zombie trouve ses origines dans la culture haïtienne et sert également à qualifier les victimes de sortilèges vaudou permettant de ramener les morts à la vie ou de détruire la conscience d’un individu afin de la rendre corvéable à merci”. “Corvéable à merci”, tiens tiens, c’est intéressant ! C’était la particularité même de mon ancien job, où toujours plus de performance était demandé aux salariés.

Les similitudes entre un zombie et un parisien

Les similitudes entre un zombie et un parisien

Les zombies, seraient donc aux sociétés futures ce que l’esclave était aux sociétés du passé ?

Aussi, j’en ai connu des gens qui se comportent comme des zombies, faisant preuve d’autant de vivacité d’esprit qu’une mouche écrasée, alors qu’ils ont tout pour eux, et que tout va bien dans leur vie.

Êtes-vous aussi du genre à penser que votre vie est morte de sens ?

Comment devenir un zombie ?

– Non pas en étant mordu par un zombie, mais en alimentant les idées noires, le pessimisme et la mauvaise humeur, mais ça pas besoin de sortir de science po pour le savoir. Mais par les pensées qu’on alimente, on créé un état émotionnel qui amène un effet direct sur notre physiologie (J’en parlerais une autre fois)… Mais aussi par une représentation interne déformée de la réalité et en se répétant qu’on est une vieille m… micro fiente de pigeon et qu’on ne vaut pas plus qu’un smarties, qu’on a jamais de chance, que la vie ne mérite pas d’être vécue… et blablabla !

– Mais il y a aussi les éléments extérieurs, hors adversité et problèmes familiaux, comme le travail. Et mon ancienne boite en était le parfait exemple. Elle transformait de valeureux consultants en d’ignobles zombies, en leur suçant leur vitalité, en licenciant, en réduisant les effectifs sans les remplacer, augmentant ainsi la charge de travail pour ceux qui restaient. Ce qui accélérait le processus de transformation.

Les similitudes entre un zombie et un parisien

Les similitudes entre un zombie et un parisien

– En se mettant en autopilote, guidé par une routine quotidienne, la voie suprême vers la mutation. En faisant, en pensant, en disant la même chose tous les jours.

– Mais la zone de contagion première est par-dessus tout les transports en commun parisien, berceau de la mauvaise humeur, de l’incivilité et du mutisme entre inconnus. Inutile d’en dire plus !

Les similitudes entre un zombie et un parisien

Les similitudes entre un zombie et un parisien

Symptômes

– Bien évidemment le premier symptôme est la mort cérébrale et chez l’humain ça se manifeste par l’attitude blasée de l’individu devenu indifférent, et insensible à toutes formes d’émotions positives.

– Dans d’autres cas, le sujet infecté présente un risque de surchauffe du cerveau appelé aussi Burn Out, ou se sous-estime, ou a la capacité à broyer du noir dans toutes les circonstances, et vit trop dans le passé.

Les similitudes entre un zombie et un parisien

Les similitudes entre un zombie et un parisien

– Accompagné d’une incapacité à communiquer se manifestant uniquement par des gémissements et grognements, que l’on appelle plus communément des râleries, un syndrome parisien très répandu et extrêmement contagieux, avec un processus de guérison lent.

– Plus aucune once d’humanité n’est décelée chez certains, et le côté sauvage prédomine, visible notamment lors d’agression publique de leurs semblables, où aucun ne bouge. Son état le rend aussi extrêmement agressif et il peut devenir un ennemi néfaste, animé plus que par une seule chose, l’individualisme.

– Le temps de réaction pour prendre une décision est affaiblit, “Que choisir ? Un croissant ou un pain au chocolat ?” ce qui démontre que le cerveau n’est plus très bien irrigué. C’est en réalité le début de la fin !

Ce qui nous différencie d’eux

Vous pensez qu’on ne peut pas être mort et vivant à la fois ? C’est juste ! Mais vivant et mort à la fois !? Et bien si !

“A paris on ne vit pas, on survit” m’a un jour dit un ami. C’est guère étonnant vu le coût de la vie de cette ville, il faudrait presque demander un crédit pour y vivre, et je ne parle pas de faire une soirée-bar, resto, ciné ou pub.

Bref, c’est un autre sujet, donc ce qui nous différencie des zombies est par-dessus tout, c’est notre désir de survivre, notre créativité, et notre volonté d’améliorer notre vie.

Nous sommes tous, sans exception, créatifs. Car nous sommes tous les enfants d’ancêtres qui l’étaient. C’est dans nos gênes. Nos descendants ont tous développé des idées créatives pour assurer leur survie. On est capable d’innover notre quotidien et de ne pas se laisser bouffer par son environnement.

Les similitudes entre un zombie et un parisien

Les similitudes entre un zombie et un parisien

Encore de nos jours, on peut observer cet instinct de survie chez beaucoup de salariés qui décident de changer de vie. Le manque d’épanouissement et de satisfaction dans leur vie professionnelle les amène à sortir de leur zone de confort. Ils se mettent ainsi à trouver les idées nécessaires à leur survie qui leur permettront d’améliorer leur quotidien. Évitez de vous faire grignoter par ce qui vous rend malheureux et qui ne vous épanouit pas. Beaucoup trop de gens décèdent à 25 ans et sont enterrés à 85 ans.

Certains prennent même leur retraite dès l’âge de 20 ans suite à un échec en pensant que toute leur vie sera représentative de cet échec. Au lieu de la considérer comme un apprentissage, ils abandonnent en ayant des attentes médiocres vis-à-vis de la vie.

Évitez de vous comporter comme un être fini à la moindre difficulté, car l’histoire est un éternel recommencement. Tout dépend de vous et de votre mentalité à éviter de vous trouver des excuses et en comprenant que rien n’arrive que ce que vous avez voulu. Alors, croquez la vie à pleine dent !

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“La dernière partie est tirée de mon eBook à venir”

Avoir : Ma vidéo fun, réalisée ce week-end :